Vues du Houloc, 2020
Vue du Houloc - M.
Vue du Houloc - J.
Vue du Houloc - U.
tirages lambda contrecollés sur aluminium, châssis bois, 13x19,5x2 cm
Vue du Houloc - M.
Vue du Houloc - J.
Vue du Houloc - U.
tirages lambda contrecollés sur aluminium, châssis bois, 13x19,5x2 cm
Les vues de Paris
2020, tirages Lambda
Vue de Paris 1, 50 x 75,3 cm
Vue de Paris 2, 50 x 71,5 cm
Vue de Paris 3, 50 x 74,5 cm
Les vues de Montpellier
Cette pièce est une réponse à l'invitation d'Anna Kerekes et de Nicolas Bourriaud à participer à l'exposition 100 artistes dans la ville dans le cadre de la ZAT 2019 à Montpellier. La création de ce projet in situ qui prend place au pied de la tour de la Babote a également reçu le soutien de l'association Société Amateur d'Astronomie de Montpellier.
Cette installation, qui prend la forme de tables d'orientation, propose des vues altérées du panorama que l'on peut observer depuis le sommet de la tour qui la surplombe. Les photographies présentées sur les structures en bois ont été prises depuis ce point de vue, au travers de plaques de verre dépoli et texturé afin d'en brouiller la lisibilité. Ces objets suggèrent un nouveau paysage, reconstitué par l'interprétation du public qui joue un rôle dans la recomposition des photographies et de la ville elle-même.
Les vues de Montpellier, 2019
120 X 120 X 90 cm chaque, Impressions UV sur dibond et bois
Cette pièce est une réponse à l'invitation d'Anna Kerekes et de Nicolas Bourriaud à participer à l'exposition 100 artistes dans la ville dans le cadre de la ZAT 2019 à Montpellier. La création de ce projet in situ qui prend place au pied de la tour de la Babote a également reçu le soutien de l'association Société Amateur d'Astronomie de Montpellier.
Cette installation, qui prend la forme de tables d'orientation, propose des vues altérées du panorama que l'on peut observer depuis le sommet de la tour qui la surplombe. Les photographies présentées sur les structures en bois ont été prises depuis ce point de vue, au travers de plaques de verre dépoli et texturé afin d'en brouiller la lisibilité. Ces objets suggèrent un nouveau paysage, reconstitué par l'interprétation du public qui joue un rôle dans la recomposition des photographies et de la ville elle-même.
Les vues de Montpellier, 2019
120 X 120 X 90 cm chaque, Impressions UV sur dibond et bois
vues d'un paysage
Les photographies de la cascade artificielle de Gairaut, au dessus de Nice, prises à l’hiver 2018, étaient au départ le simple enregistrement d’un lieu familier de mon enfance, réalisé dans la crainte de ne plus y revenir, qu’il disparaisse, par destruction ou par oubli.
À la lecture des essais de Luigi Ghirri j’ai été frappé par un passage dans lequel il exprime une confusion entre le familier et l’étranger, la sensation qu’un élément qui nous est proche peut devenir illisible, brouillé par la connaissance trop intime qu’on a de lui. Il parle alors d’un paysage. Il ne le décrit pas mais en lisant ce sont les images de la cascade qui m’apparaissent.
Ce lieu, décor de souvenirs de vacances, devient au sein d’une de mes pièces récentes, vues d’un paysage, l’archétype d’un sujet de cartes postales, faussement exotique car totalement artificiel, à la limite du kitsch. Ce même kitsch caractérise le verre texturé évocateur d’un certain espace domestique, utilisé dans la pièce pour recouvrir les cartes postales et troubler ainsi la lecture du paysage et du texte.
La photographie de Pauline, artiste invitée a écrire le texte de Luigi Ghirri sur le dos des cartes, prend place dans l’installation et livre une part intime de la facbrication de la pièce, intime, comme la correspondance rédigée habituellement sur les cartes postales.
Vues d'un paysage, 2019
Pauline 35 X 52,5 cm tirage lambda sous verre
Ensemble de 3 duo de cartes postales sous verre texturé 21 X 14,8 cm chaque
Les photographies de la cascade artificielle de Gairaut, au dessus de Nice, prises à l’hiver 2018, étaient au départ le simple enregistrement d’un lieu familier de mon enfance, réalisé dans la crainte de ne plus y revenir, qu’il disparaisse, par destruction ou par oubli.
À la lecture des essais de Luigi Ghirri j’ai été frappé par un passage dans lequel il exprime une confusion entre le familier et l’étranger, la sensation qu’un élément qui nous est proche peut devenir illisible, brouillé par la connaissance trop intime qu’on a de lui. Il parle alors d’un paysage. Il ne le décrit pas mais en lisant ce sont les images de la cascade qui m’apparaissent.
Ce lieu, décor de souvenirs de vacances, devient au sein d’une de mes pièces récentes, vues d’un paysage, l’archétype d’un sujet de cartes postales, faussement exotique car totalement artificiel, à la limite du kitsch. Ce même kitsch caractérise le verre texturé évocateur d’un certain espace domestique, utilisé dans la pièce pour recouvrir les cartes postales et troubler ainsi la lecture du paysage et du texte.
La photographie de Pauline, artiste invitée a écrire le texte de Luigi Ghirri sur le dos des cartes, prend place dans l’installation et livre une part intime de la facbrication de la pièce, intime, comme la correspondance rédigée habituellement sur les cartes postales.
Vues d'un paysage, 2019
Pauline 35 X 52,5 cm tirage lambda sous verre
Ensemble de 3 duo de cartes postales sous verre texturé 21 X 14,8 cm chaque
4 vues d'Avignon
4 vues d’Avignon est une pièce réalisée à partir de photographies prises en 2018 par les fenêtres du Palais des Papes d’Avignon. Ces images présentant des vues altérées du paysage sont devenues des cartes postales. En contradiction avec cette forme qu’elles adoptent, elles ne peuvent remplir la fonction de témoignage inhérente à l’objet social qu’est la carte postale. Les détails urbains disparaissent dans des compositions abstraites desquelles la ville surgit par la présence d’indices formels (couleurs, ligne d’horizon), raisonnant avec certains paysages du sud de la France peints par Braque ou Cézanne. Ce travail s’inscrit dans un ensemble de recherches autour du statut de l’image photographique et de ses usages tant au quotidien que dans son inscription dans l’histoire de l’art.
Vues d’Avignon, 2019, Ensemble de 5 cartes postales 21 X 14,8 cm chaque
4 vues d’Avignon est une pièce réalisée à partir de photographies prises en 2018 par les fenêtres du Palais des Papes d’Avignon. Ces images présentant des vues altérées du paysage sont devenues des cartes postales. En contradiction avec cette forme qu’elles adoptent, elles ne peuvent remplir la fonction de témoignage inhérente à l’objet social qu’est la carte postale. Les détails urbains disparaissent dans des compositions abstraites desquelles la ville surgit par la présence d’indices formels (couleurs, ligne d’horizon), raisonnant avec certains paysages du sud de la France peints par Braque ou Cézanne. Ce travail s’inscrit dans un ensemble de recherches autour du statut de l’image photographique et de ses usages tant au quotidien que dans son inscription dans l’histoire de l’art.
Vues d’Avignon, 2019, Ensemble de 5 cartes postales 21 X 14,8 cm chaque